NOTES

 

La seule occurence de l'expression dans le livre de Job -du moins dans sa traduction par Martin, dont Hugo se sert- ne se trouve pas dans le texte lui-même mais dans une note au verset 19, 26 « Et lors qu'après ma peau ceci aura été rongé, je verrai Dieu dans ma chair. [Note:] Celui qu'il vient d'appeler son Goël, il l'appelle ici Dieu: et en disant qu'il le verra de sa chair, ou des yeux de son corps, ce qui ne peut être dit proprement de Dieu, qui est invisible en cette manière, il semble que Job désignait ainsi la nature humaine du Rédempteur, qui avait été promis sous le nom de semence ou de fils de la femme, Gen. 3. 15, car cette promesse a été le premier fondement de la foi et de l'espérance de toute l'Eglise. »

L'expression « fils de la femme » ne se trouve, dans l'Ancien Testament, que dans le livre des Rois (17,17), sans connotation particulière.